" La malheureuse Callisto a beau supplier la déesse, voici que ses bras se couvrent de poils, ses mains s'allongent, munies de griffes recourbées, sa bouche est une gueule d'où sortent des grondements terrifiants. Elle n'avance plus qu'à quatre pattes. " Dans l'univers dépeint par Ovide, tout se transforme, objets, dieux et humains. Daphné devient un laurier, Callisto une ourse, des bateaux prenn...(Lire la suite)