Votre recherche 5 résultats

Pendant vingt ans, Alexandre Vialatte s'est promené dans son époque pour en donner un portrait saisissant dans les chroniques qu'il livrait chaque semaine au quotidien auvergnat La Montagne. En se prêtant avec gourmandise à cet exercice, il a inventé un genre littéraire qui fait encore aujourd'hui notre admiration. Pour notre plus grand bonheur, Alain Allemand nous entraîne ici dans une déambulat...(Lire la suite)

De son vivant "auteur notoirement méconnu", comme il aimait lui-même à se présenter, Alexandre Vialatte (1901-1971) vit pourtant, année après année, le cercle de ses lecteurs s’agrandir, et sa gloire posthume ne cesse de prospérer. Méconnu, Vialatte le demeure cependant encore du grand public. L’explication tient peut-être à la richesse et à la profusion de son oeuvre, dont témoignent les chroniq...(Lire la suite)

Laissons à Alexandre Vialatte, inégalable observateur des mœurs de son temps, le soin de clore avec sa sagesse et son irrévérence coutumières, les célébrations de Mai 68. Le millésime 1968 des chroniques réunies dans ce volume est un grand cru. On y apprendra mille détails essentiels sur " les plus vastes choses et les plus hauts sujets " - océans, fleuves et îles ; montagnes, plaines et continen...(Lire la suite)

La plupart des poèmes que propose La Paix des jardins ont été écrits à deux époques : les années 1920 puis les années 1950. Dans la première (il a une vingtaine d'années), ce sont des sortes de romances, où la mélancolie se marie au cocasse et engendre une tonalité particulière, manifestant des parentés avec celles de Toulet, Levet, Laforgue ou Kipling, et où apparaît déjà tout le bric-à-brac ima...(Lire la suite)

" Battling, Battling, nous n'irons plus à Mexico nous laisser prendre à leurs promesses. Nous ne prêterons plus l'oreille aux conseils du ciel de cinq heures, ni aux voix du vent dans le préau. Nous n'agiterons plus sur les murs du parloir l'ombre emphatique de nos petites pèlerines. Tu n'invectiveras plus jamais Victor Hugo dans la cour qui sent le tilleul, à l'heure où les chats irrités font le...(Lire la suite)