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Encore une citation, monsieur le bourreau ! / Dominique Noguez

Éditeur : Albin Michel, Impr. CPI Bussière

La nuit, tous les aphorismes sont gris. Dominique Noguez les remet en pleine lumière, révélant l'origine et les sources des meilleurs d'entre eux avant de les commenter, souvent avec humour, toujours avec une érudite précision. De Sophocle à Duras, de Labiche à de Gaulle, voici une mine de citations, graves ou graveleuses, philosophiques ou drôles. Un délice pour tous les amis de la sagesse antiq...(Lire la suite)

Des causes : l'humour, la sagesse – antique et moderne –, la littérature de demain, l'avenir du français, le style, le refus de la censure et du puritanisme.Mais aussi des écrivains et des artistes : Sartre, Barthes, Cocteau, Picasso, Henri Langlois, Topor, François-Marie Banier.Enfin, quelques conseils : comment porter la barbe ; être un cadavre coriace ; donner une conférence lorsqu'on n'a plus...(Lire la suite)

6 juillet 2010, 23 heures. Dans un discours télévisé, le président de la République, les yeux rouges, annonce aux Français que de terribles événements se préparent. Depuis quelque temps déjà, les choses allaient assez mal pour décider le narrateur, scénariste de cinéma, à quitter Biarritz où il se remet d'une fin d'amour difficile. C'est le début d'une odyssée qui le mène, dans une France en proi...(Lire la suite)

Le récit autobiographique de D. Noguez, qui rencontre, à l'occasion d'un colloque de la Société des gens de lettres, un séduisant jeune homme, Cyril Durieux, avec qui il commence une relation amoureuse. Racontant 6 années d'un amour qui a influencé sa vie privée comme sa vie intellectuelle, il interroge plus généralement l'amour, la sexualité, la sensualité et le bonheur.

Amour noir : roman / Dominique Noguez

Éditeur : Gallimard,

" Jamais je n'avais regardé ses yeux de si près. Ils étaient d'un brun foncé, presque aussi sombres que leur pupille. Je ne pourrais pas écrire que je la regardais au fond des yeux car ces yeux-là n'avaient pas de fond. Ils n'étaient qu'une surface noire, désespérément opaque, des yeux inhumains, de rapace ou de lynx, d'une dureté de marbre ou de météorite, des yeux qui me regardaient mais ne me ...(Lire la suite)

Ce qui nous rend la vie infernale, ce n'est pas - ou pas seulement - notre pauvre imperfection humaine ni la triste réalité cosmique. C'est les autres. Y compris nous-même, puisque chacun est aussi l'autre d'autrui. On part ici de choses terriblement concrètes comme le bruit des voisins, les portables, les chiens méchants, les endoscopies, les grèves des transports, les procès abusifs, etc. On fa...(Lire la suite)