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La maison des sources : roman / Elizabeth Goudge ; traduit de l'anglais par Yvonne Girault

Éditeur : Mercure de France, Impr. CPI Firmin-Didot

"Dans une petite chambre éclairée par la lueur dansante du feu, les rideaux de perse fleurie étaient tirés contre la fraîcheur du soir. Avec son lit à colonnes, sa coiffeuse enjuponnée de ruches, sa commode galbée et les gravures anciennes aux murs, cette pièce était une véritable oasis de paix dans ce monde tourmenté. Lucilla était adossée à ses oreillers ; une mantille de dentelle recouvrait se...(Lire la suite)

Guernesey, 1988. Tous les vents marins semblent s'être donné rendez-vous le long des côtes emblématiques de l'île, là ou s'accroche la vieille chaumière d'André du Frocq et de sa famille. Un lieu sauvage, miroir fidèle des sentiments de ceux qui l'habitent. Face aux assauts des éléments et aux difficultés financières, André pense quitter la ferme. Mais c'est sans compter l'attachement sans faille...(Lire la suite)

L'auberge du pèlerin : roman / Elizabeth Goudge ; traduit de l'anglais par Yvonne Girault

Éditeur : Mercure de France, Impr. CPI Firmin-Didot

Cette auberge était une maison ancienne, assez vaste, avec d'épaisses murailles blanchies à la chaux et une toiture cabossée, fortement inclinée, en tuiles couleur d'ambre. Elle ressemblait à une robuste forteresse, accueillante et profondément vivante, avec une lourde porte en chêne. En la découvrant, aucun des membres de la famille n'osait bouger : cette demeure les avait ensorcelés. C'était tr...(Lire la suite)

En cette soirée de septembre, Lucilla attendait l'arrivée de David et elle alla se regarder dans la glace. Il lui disait souvent qu'elle était belle et qu'il l'aimait. "Je ne sais pas au juste de qui tu as l'air", dit-elle à la vieille dame dans le miroir, "mais ce qui importe, c'est que tu lui plaises". Quelques minutes plus tard, il entra dans la pièce. "Vas-tu bien, grand-mère ?" "Très bien, D...(Lire la suite)

Nous sommes au XIIe siècle dans une bourgade des îles Anglo-Normandes. La famille du jeune William emménage rue du Dauphin Vert. L'adolescent se lie à ses deux voisines, la jolie et souriante Marguerite, et la grave Marianne, plus ingrate. On rêve, on rit, on pleure ; et l'on se moque de ce benêt de William qui, malgré sa préférence marquée pour Marguerite, ne peut s'empêcher de mélanger les prén...(Lire la suite)