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Un hosanna sans fin / Jean d'Ormesson,...

Éditeur : Éditions Héloïse d'Ormesson, Impr. Floch

« Grâce à Dieu, je vais mourir. Comme tout le monde. Comme vous. Avant vous sans doute : ma vie est déjà longue, j'approche du bout du chemin. Mais rien de plus capricieux que cette mort si certaine. L'histoire est imprévisible. Ce qu'il faut dire avec force dès le début de ce petit livre, c'est que personne n'est sûr de rien. » Ainsi s'ouvre Un hosanna sans fin. « Disons les choses avec simplici...(Lire la suite)

" Je n'aime pas beaucoup les lettres, ni en recevoir ni en envoyer. Sauf de toi et à toi – et quelques autres. C'est ce qu'on doit appeler l'amitié" Tout en prenant un malin plaisir à se déclarer réticent à ce genre d'exercice, Jean d'Ormesson déploie dans l'art épistolaire autant de brio et de virtuosité que de talents de stratège et de séducteur. Il laisse libre cours, dans cette version la moi...(Lire la suite)

Et moi, je vis toujours : roman / Jean d'Ormesson

Éditeur : Gallimard, CPI Firmin-Didot impr.

Il n'y a qu'un seul roman - et nous en sommes à la fois les auteurs et les personnages : l'Histoire. Tout le reste est imitation, copie, fragments épars, balbutiements. C'est l'Histoire que revisite ce roman-monde où, tantôt homme, tantôt femme, le narrateur vole d'époque en époque et ressuscite sous nos yeux l'aventure des hommes et leurs grandes découvertes. Vivant de cueillette et de chasse da...(Lire la suite)

La conversation / Jean d'Ormesson

Éditeur : H. d'Ormesson,

Quand se glisse chez Bonaparte l'idée de devenir empereur. " Il y a des moments où l'histoire semble hésiter avant de prendre son élan : Hannibal quand il décide de passer les Alpes avec ses éléphants pour frapper Rome au coeur ; César sur les bords du Rubicon ; le général de Gaulle à l'aube du 17 juin 1940, quand il monte dans l'avion qui va l'emmener à Londres, vers une résistance qui peut para...(Lire la suite)

Le Vent du soir : roman / Jean d'Ormesson,...

Éditeur : Librairie générale française,

Le Vent du soir est le premier tome d'une trilogie dont le deuxième volume est : Tous les hommes en sont fous et le troisième : Le Bonheur à San Miniato. Ce que raconte Le Vent du soir, c'est une histoire dans l'Histoire. L'action commence vers le milieu du siècle passé ; la scène, le monde : du Brésil à Venise, de la Russie aux Indes, en Afrique du sud, en Ecosse, à Vienne...Les personnages, don...(Lire la suite)

" Deux ou trois étés de suite, nous avions lâché l'Italie pour l'une ou l'autre des îles grecques. Nous louions pour pas cher des maisons qui étaient loin des villages et tout près de la mer. Les voitures, les journaux, les faits divers, les impôts, les débats de société et les institutions, nous les laissions derrière nous avec Margault et Romain. A Naxos, notre fenêtre donnait sur un champ de l...(Lire la suite)

Qu'ai-je donc fait / Jean d'Ormesson,...

Éditeur : R. Laffont,

"Qu'ai-je donc fait? J'ai aimé l'eau, la lumière, le soleil, les matins d'été, les ports, la douceur du soir dans les collines et une foule de détails sans le moindre intérêt comme cet olivier très rond dont je me souviens encore dans la baie de Fethiye ou un escalier bleu et blanc flanqué de deux fontaines dans un village des Pouilles dont j'ai oublié le nom. Je ne regrette ni d'être venu ni de ...(Lire la suite)

Odeur du temps : chroniques / Jean d'Ormesson,...

Éditeur : H. d'Ormesson,

Plaidoyer pour la lecture, réflexions sur une civilisation en mutation, billets d'humeur, le présent recueil est un choix parmi le millier de chroniques que Jean d'Ormesson a publiées de 1969 à aujourd'hui. Avec une jubilation communicative, il proclame son amour de la littérature, de l'art et de la vie. Il parle de ses voyages, réels ou imaginaires, et convoque successivement le peintre Raphaël,...(Lire la suite)

Fait des proses et des poèmes que je connais - ou connaissais - par cœur, ce livre n'aspire à rien d'autre qu'à donner un peu de plaisir, et peut-être d'émotion, à ceux qui le liront. Voilà des mots qui ne sont pas de moi et qui valent mieux que moi, mais qui, à force de familiarité, d'admiration, d'une répétition intérieure proche de la rumination, ont fini par se confondre avec moi : il m'arriv...(Lire la suite)

Qu'est-ce que la vie et d'où vient-elle ? Comment fonctionne l'univers? Pourquoi y a-t-il quelque chose au lieu de rien ? Des mathématiciens aux philosophes grecs, à Einstein et à la théorie des quanta, en passant par Newton et Darwin, voilà déjà trois mille ans que les hommes s'efforcent de répondre à ces questions. L'histoire s'est accélérée depuis trois ou quatre siècles. Nous sommes entrés da...(Lire la suite)

Pour se défendre dans un procès qu’il s’intente à lui-même, l’auteur fait défiler au galop un passé évanoui. Il va de l’âge d’or d’un classicisme qui règne sur l’Europe à l’effondrement de ce « monde d’hier » si cher à Stefan Zweig. De Colbert, Fouquet, Bossuet ou Racine à François Mitterrand, Raymond Aron, Paul Morand et Aragon. Mais les charmes d’une vie et les tourbillons de l’histoire ne suff...(Lire la suite)

La création du monde : roman / Jean d'Ormesson,...

Éditeur : R. Laffont,

Quatre amis passent huit jours de vacances dans une île de Méditerranée. L'un d'entre eux a apporté un manuscrit envoyé par un certain Simon Laquedem. Sa lecture provoque dans leur groupe des réactions contradictoires. Un ange annonce à Simon qu'il est le nouvel Abraham, le nouveau Moïse, le nouveau Mahomet et que Dieu insiste pour lui parler. Dieu lui apparaît et lui raconte avec simplicité et c...(Lire la suite)

J'aime les livres. Tout ce qui touche la littérature - ses acteurs, ses héros, ses partisans, ses adversaires, ses querelles, ses passions - me fait battre le cœur. Le triomphe du Cid m'enchante. La " petite société " autour de Chateaubriand et de cette raseuse de Mme de Staël m'amuse à la folie. La mort de Lucien de Rubempré me consterne autant que Wilde ou le baron de Charlus. Et, j'aime mieux ...(Lire la suite)

Une fête en larmes : roman / Jean d'Ormesson,...

Éditeur : R. Laffont,

-Je ne crois pas beaucoup, vous le savez, à tout ce qui agite les hommes. Je pense que les trois quarts de nos paroles sont tout à fait inutiles. -Et si, en remplacement de toutes ces choses inutiles et trop longues que nous aurions pu nous épargner, vous deviez me murmurer, comme Baba l'Eveillé au commandeur des croyants, quelques mots à l'oreille, lesquels choisiriez-vous ? Je la regardai une d...(Lire la suite)

"Mesdames et Messieurs de l'Académie, Quand on a le privilège d'être reçu au sein d'une famille comme la vôtre, on n'arrive pas les mains vides. Et si on est l'invité levantin que je suis, on arrive même les bras chargés. Par gratitude envers la France comme envers le Liban, j'apporterai avec moi tout ce que mes deux patries m'ont donné : mes origines, mes langues, mon accent, mes convictions, me...(Lire la suite)

Le 26 novembre 1974, la voix sans hésitation de Simone Veil résonne dans l'hémicycle. Elle présente à l'Assemblée nationale son projet de loi en faveur de l'avortement. Une majorité de députés y sont opposés. Les débats seront longs, houleux, teintés d'une grande violence mais son discours magistral finira par emporter l'adhésion. Le 18 mars 2010, Simone Veil est reçue à l'Académie française. Ell...(Lire la suite)

Je voudrais ici, tout de suite, dire et répéter avec force que le second tome est très loin de signifier un second choix. Je n'allais pas tirer toutes mes cartouches d'un coup, dès le premier assaut. Je gardais pour la suite quelques biscuits de réserve et des trésors encore cachés. La méthode suivie dans ce deuxième volume est la même que dans le premier : présenter en quelques mots l'écrivain e...(Lire la suite)

J'aime les livres. Tout ce qui touche la littérature - ses acteurs, ses héros, ses partisans, ses adversaires, ses querelles, ses passions - me fait battre le coeur. Le triomphe du Cid m'enchante. La " petite société " autour de Chateaubriand et de cette raseuse de Mme de Staël m'amuse à la folie. La mort de Lucien de Rubempré me consterne comme elle a consterné Wilde ou le baron de Charlus. Et, ...(Lire la suite)

Découvert tout récemment par sa fille Ariane, le manuscrit du seul roman écrit par Lucien Jerphagnon au début des années 1960 et resté par sa volonté inédit, est publié simultanément avec le volume « Bouquins » rassemblant ses premiers essais devenus eux-mêmes introuvables. C'est tout un pan secret de sa vie marqué par son engagement religieux qui est ainsi exhumé.

Quand un immortel parle du temps qui passe, il nous livre en réalité des chroniques intemporelles, érudites, enthousiastes ou polémique qui dessinent le portrait de leur auteur. " Tant qu'il y aura des livres, des gens pour en écrire et des gens pour en lire, tout ne sera pas perdu dans ce monde. " Jean d'Ormesson " Il était le meilleur de l'esprit français, un mélange unique d'intelligtence, d'é...(Lire la suite)