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En l'absence de leurs pères, deux fils de bonne famille, Léandre et Octave, tombent amoureux, l'un d'une belle Egyptienne, l'autre d'une jeune fille pauvre et éplorée. Ils n'en font qu'à leur tête ; le premier couvre sa bien-aimée de présents, le second, poussé par la passion, épouse la sienne. Quel effroi quand les deux garçons apprennent le retour de leurs parents respectifs ! Un seul homme pe...(Lire la suite)

Arnolphe, un vieux barbon, a élevé dans la solitude et l'ignorance Agnès, sa pupille, en vue d'en faire l'épouse dévouée devant lui permettre de conjurer sa crainte irrationnelle du cocuage. Mais l'amour sincère du jeune Horace va favoriser la métamorphose spectaculaire de l'ingénue.

"De quels modèles Molière s'est-il inspiré? À en croire Somaize, Donneau de Visé et quelques autres, il se serait contenté de traduire une pièce écrite en italien par l'abbé de Pure et représentée en 1656 par les comédiens italiens de Paris, avec lesquels notre auteur partage le Petit-Bourbon depuis l'automne de 1658. L'ennui est que la prétendue pièce de l'abbé de Pure n'a pas été publiée, ni en...(Lire la suite)

Les femmes savantes, c'est le savoir devenu fou, donc comique. Bélise aime trop les romans, Philaminte trop le bel esprit. Une teinture de philosophie, ou de science, ne suffit jamais ; le snobisme n'épargne pas les hommes, pédants ridicules comme Vadius et Trissotin. Le pire est que les héros aiment comme ils savent, de loin. Molière a transformé ces modèles momentanés en types éternels, en ancê...(Lire la suite)

iche bourgeois, M Jourdain ne rêve que d'une chose : devenir gentilhomme. Et quels ne sont pas ses efforts pour y parvenir ! Cours de danse, de chant, d'armes et de philosophie : tout est bon pour acquérir les manières d'un noble. Hélas ! L'élève multiplie les maladresses et les balourdises. L'extravagance de M Jourdain atteint son comble quand il refuse la main de sa fille à l'homme qu'elle aime...(Lire la suite)

Tartuffe / Molière

Éditeur : Infomedia,

Dès sa première représentation, en 1664, Le Tartuffe provoqua le scandale : Louis XIV, sous l'influence du parti des dévots, fit interdire la pièce. Qualifiée de " diabolique " et d'" immorale ", l'œuvre ne fut autorisée de représentation qu'au terme de cinq années de luttes et de polémiques - cinq années pendant lesquelles le dramaturge remit son ouvrage sur le métier, pour aboutir à la version ...(Lire la suite)