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Lorsque Mr Hiram B. Otis, un ministre américain, et sa famille font l'acquisition d'un ancien manoir, le propriétaire, Lord Canterville, les met en garde : depuis trois siècles, un fantôme hante les lieux et terrorise ses habitants. Mais le ministre affirme fièrement ne pas redouter les apparitions nocturnes... Pauvre fantôme! A peine s'est-il montré que les jumeaux Otis lui jouent de bien mauvai...(Lire la suite)

Un mari idéal (1895) est la troisième des comédies d'Oscar Wilde. Créée quelques semaines avant L'Importance d'être constant, elle fut jouée au même moment, et l'auteur triompha sur deux scènes différentes de Londres. Sir Robert Chiltern semble disposer de tous les atouts : il est riche, sous-secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, et sa femme voit en lui un "mari idéal". Mais son succès repos...(Lire la suite)

Tout le monde connaît le chef-d'œuvre d'Oscar Wilde tel qu'il a été publié en volume en 1891. Cette version diffère considérablement du manuscrit qu'il avait soumis quelques mois plus tôt au Lippincott's Magazine où le roman devait paraître en prépublication. Le directeur, par pruderie, l'avait sérieusement raboté, ce qui ne l'a pas empêché de provoquer un premier soulèvement d'indignation. Par l...(Lire la suite)

Traduit de l’anglais par Albert Savine.

Salomé / Oscar Wilde

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"Ce drame en un acte et en prose fut écrit par Oscar Wilde en français et publié à Paris en 1893, puis traduit en anglais et illustré par Aubrey Beardsley en 1894. Mais il dut attendre le 11 février 1896 pour être représenté au théâtre de l’Oeuvre à Paris et le 10 Mai 1905 au New Stage Club à Londres. Il fallut toutefois attendre l’opéra de Richard Strauss (1905), sur un livret très fidèle à la p...(Lire la suite)

L'atelier était plein de l'odeur puissante des roses, et quand une légère brise d'été souffla parmi les arbres du jardin, il vint, par la porte ouverte, la senteur lourde des lilas et le parfum plus subtil des églantiers. D'un coin du divan fait de sacs persans sur lequel il était étendu, fumant, selon sa coutume, d'innombrables cigarettes, lord Henry Wotton pouvait tout juste apercevoir le rayon...(Lire la suite)