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Johann Strauss, le père, le fils et l'esprit de la valse / Alain Duault

Éditeur : Actes Sud, Normandie roto impr.

A Vienne, la valse a un nom : Strauss ! De Johann père à Johann fils en passant par Josef ou Eduard, c'est d'abord l'histoire d'une famille qui vous est racontée ici. C'est encore l'histoire d'un siècle, le XIXe, au coeur d'une Europe traversée de soubresauts, qui n'ont pas toujours été modelés par cette obsession du plaisir dont les Strauss demeurent aujourd'hui l'effigie. Au fil de ce siècle (J...(Lire la suite)

Une femme de feu : le roman de la Malibran / Alain Duault

Éditeur : Gallimard, Impr. Floch

Maria Malibran a été la Callas du XIXe siècle. Espagnole née à Paris, devenant la plus grande diva de son époque et vivant une passion amoureuse brisée par une mort tragique à vingt-huit ans : son destin est celui d'un personnage de roman. Durant les dernières semaines de sa vie, elle se raconte dans cette autobiographie imaginaire décrivant une femme, avec ce feu qui brûle en elle, une époque, a...(Lire la suite)

La cérémonie des inquiétudes : poèmes / Alain Duault

Éditeur : Gallimard, Impr. Floch

C'est un Alain Duault moins cérémonieux que son titre ne l'annonce, mais fidèle à lui-même et au meilleur de sa forme poétique que nous retrouvons dans ce recueil. Partagé entre les émerveillements de l'amour et les tristesses et inquiétudes de l'âge, le poète nous entraîne dans ses voyages, ses passions, ses rêveries aussi bien que dans ses angoisses et les questions qui le tourmentent. Il le fa...(Lire la suite)

Dans la peau de Maria Callas : roman / Alain Duault

Éditeur : le Passeur éd.,

1er septembre 1977, Maria Callas est chez elle, dans son grand appartement parisien de l'avenue George-Mandel, seule. Rideaux tirés, elle regarde les photos de ses rôles, réécoute ses disques, se souvient. On a dit que le grand air de Tosca, Vissi d'arte, vissi d'amore ("J'ai vécu d'art, j'ai vécu d'amour"), résumait toute sa vie : elle a vécu d'art, c'est sûr, mais d'amour ? Le 16 septembre au m...(Lire la suite)

Les cerisiers en pleurs de Kyoto, le souk aux soies de Delhi, Hanoï, ses lacs, sa rue des peignes et celle des pipes à eau, Lisbonne, le goût de paradis des pasteis de nata et les larmes du fado, Bayreuth pour entendre l'origine du monde. Un son de vînâ qui étire le temps au Tamil Nadu, la lumière rose du matin sur le Taj Mahal, la baie d'Halong où l'air est doux, un rien sucré, et où l'on entend...(Lire la suite)