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Georges Perec / Claude Burgelin

Éditeur : Gallimard, Normandie roto impr.

Il est mort jeune, à quarante-cinq ans, mais il laisse une œuvre considérable, labyrinthique, construite comme autant d'expériences d'écriture. Une vie anéantie à peine commencée – père tué en 1940, mère disparue à Auschwitz. Pas de souvenirs d'enfance. De cette amnésie, Georges Perec fera le ressort de sa création littéraire : il ne cesse de chercher à retisser des liens et des repères par les l...(Lire la suite)

"Rien que la terre. Toute la terre. Gérard Chaliand est un nomade. Cavalier rapide plutôt que pressé, sans fin il parcourt la steppe ou la savane, la forêt ou le fjord, le cap Vert ou la Terre de Feu, New York ou Bamako, Kaboul ou Buenos Aires. Passion des lieux, des paysages, des villes - de leur beauté et leur diversité. Pourtant, c'est la passion pour la guerre qui l'aura fait le plus souvent ...(Lire la suite)

1957. Georges Perec a vingt-et-un ans. Il est un étudiant (en histoire) qui n'étudie plus. Il voudrait écrire, n'y parvient guère. En juin 1956, il commence une psychanalyse. Fin juillet 1957, il part pour la Yougoslavie. Le 8 septembre, à peine revenu, il rédige dans l'urgence un roman tout imprégné de son expérience yougoslave, L'Attentat de Sarajevo. C'est un galop d'essai mené au galop. C'est...(Lire la suite)

Prince des faussaires, Gaspard Winckler assassine son commanditaire, Anatole Madera. Pourquoi ce meurtre ? Il se consacrait depuis des mois à la réalisation d’un faux Condottière, le célèbre tableau du Louvre, peint par Antonello da Messina en 1475. Que cherchait-il en devenant un virtuose du faux ? Le faussaire réussira-t-il jamais à rivaliser avec le peintre de la Renaissance ?