Votre recherche 4 résultats

Abel, 20 ans, passe son dernier Noël à attendre sa propre exécution. L'horreur de la Grande Guerre ne suffit pas au calvaire du soldat. Reconnu, à la hâte, coupable d'automutilation, le jeune Zouave est passé par les armes le 27 décembre 1914, en Belgique. Ils seront près de 600 soldats à perdre ainsi la vie, pendant la durée du conflit. 600 "fusillés pour l'exemple", un drame dans le drame qui p...(Lire la suite)

Mutins et fusillés pendant la Grande guerre / François de Lannoy

Éditeur : Éditions "Ouest-France",

En 1917 des dizaines de milliers de soldats français refusent de monter au front et d'obéir aux officiers : cet ouvrage décrit comment ces mutineries ont été stoppées et réprimées par le commandement. - Au printemps 1917, l'armée française doit faire face à une grave crise morale qui se traduit par la recrudescence des actes d'indiscipline individuels mais surtout, fait totalement nouveau, par la...(Lire la suite)

Là-bas, aux abords de Souain, en mars par un froid matin, ils ont assassiné mon papa... écrit la petite Jeannette, dont le père, le caporal Maupas, est fusillé le 17 mars 1915. Fusillé aussi, François-Marie Laurent, pour ne connaître que le breton et n'avoir pas compris les ordres qu'on lui donnait en français. Fusillé, Jean Jaeglé, pour avoir porté presque le même nom qu'un espion allemand. Fusi...(Lire la suite)

Le 11 octobre 1914, au Bois-des-Loges, le sous-lieutenant Julien Chapelant est fusillé pour reddition à l'ennemi. Blessé, la jambe fracturée, il est ligoté à son brancard pour pouvoir être maintenu debout face au peloton d'exécution. Cette affaire, qui a révolté l'opinion, a suscité une grande campagne en faveur de sa réhabilitation, soutenue par les associations d'anciens combattants et la Ligue...(Lire la suite)