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Une vie / Simone Veil

Éditeur : Stock,

C'est un événement. Simone Veil accepte enfin de se raconter à la première personne. De son enfance niçoise dans une famille juive complètement assimilée, et de sa déportation à Auschwitz avec sa mère et l'une de ses soeurs en mars 1944, jusqu'à ses fonctions les plus récentes, elle a su s'imposer comme une figure singulière et particulièrement forte dans le paysage politique français. Femme libr...(Lire la suite)

Pour mémoire / Alain Genestar

Éditeur : Bernard Grasset, Impr. Laballery

22 décembre 2004. Pour la première fois, Simone Veil retourne à Auschwitz avec les siens à quelques semaines du 60e anniversaire de la libération du camp. Le reportage publié dans « Paris Match » avait bouleversé les lecteurs par l'intensité de l'émotion qui s'en dégageait. A l'origine de ce « voyage », Alain Genestar, alors directeur de la rédaction du magazine. Il avait réussi à convaincre Simo...(Lire la suite)

Les inséparables : Simone Veil et ses soeurs / Dominique Missika

Éditeur : Éditions le Seuil, Impr. Floch

Elles sont trois soeurs : Madeleine, Denise et Simone Jacob, rescapées des camps de la mort. Madeleine, dite Milou, et Simone déportées avec leur mère Yvonne parce que juives à Auschwitz et à Bergen-Belsen ; Denise, à Ravensbrück. Rapatriées en mai 1945, Milou et Simone apprennent à Denise, déjà rentrée, que leur mère est morte d'épuisement. De leur père, André, et de leur frère Jean, elles espèr...(Lire la suite)

"La guerre avait fauché une génération. Nous étions effondrés. Mon oncle et ma tante avaient beau être médecins, ils ne possédaient plus rien. Leur clientèle avait disparu. Leur maison avait été pillée. Leurs économies avaient fondu. Le lendemain de mon arrivée à Paris, comme ils n'avaient ni argent ni vêtements à m'offrir, c'est une voisine qui m'a secourue avec une robe et des sous-vêtements. I...(Lire la suite)

« La guerre avait fauché une génération. Nous étions effondrés. Mon oncle et ma tante avaient beau être médecins, ils ne possédaient plus rien. Leur clientèle avait disparu. Leur maison avait été pillée. Leurs économies avaient fondu. Le lendemain de mon arrivée à Paris, comme ils n'avaient ni argent ni vêtements à m'offrir, c'est une voisine qui m'a secourue avec une robe et des sous-vêtements. ...(Lire la suite)