Votre recherche 6 résultats

"Si le voyageur finit toujours par revenir de ses voyages, le vagabond, lui, poursuit inlassablement son chemin." Dans le sillage des oies sauvages est une plongée dans la vie nue, depuis la Carélie jusqu'au Labrador canadien. C'est aussi la quête d'un rapport au monde dans lequel c'est le chemin qui fait l'homme, et non l'inverse. Wilk nous raconte d'abord le lieu où il a choisi de vivre, le ham...(Lire la suite)

Basé sur des faits réels, L'affaire du colonel Miassoïedov évoque à la fois les meilleurs romans d'espionnage et les fresques des grands auteurs russes. Dans un vieux numéro du Times, l'auteur retrouve un écho d'une affaire qui avait fait grand bruit dans son enfance ; c'était quelque chose comme une affaire Dreyfus russe, mais il n'y avait eu aucun Emile Zola, alors, pour prendre la défense de l...(Lire la suite)

La passion de ?ubie?ski pour les oiseaux est contagieuse. Aux expériences de l'auteur sur le terrain, parfois drôles, toujours passionnantes, ce merveilleux petit livre ajoute des dizaines de portraits et d'anecdotes sur les birdwatchers d'hier et d'aujourd'hui, des savants, des cinéastes, des peintres, toutes sortes de fous d'oiseaux. On y apprendra à quoi pensaient les oiseaux d'Hitchcock, quel...(Lire la suite)

En 1914, Ernest Shackleton partait à bord de l'Endurance pour un voyage en Antarctique qui resterait dans l'histoire par sa tournure tragique et sa fin miraculeuse. Un siècle plus tard, un équipage polonais prend la mer pour refaire le parcours de l'expédition légendaire. Mateusz Janiszewski, tout jeune chirurgien, voyageur et écrivain, en est l'un des skippers. Depuis la Patagonie, à travers les...(Lire la suite)

Journal 1954 / Léopold Tyrmand ; traduit du polonais par Laurence Dyèvre

Éditeur : les Éditions Noir sur blanc, Impr. Floch

A la mort de Staline, Leopold Tyrmand, 32 ans, travaillait comme chroniqueur au sein la dernière revue jouissant d'une certaine liberté d'expression dans la Pologne communiste, le Tygodnik Powszechny. Il était heureux, il était aimé, il faisait des papiers sur le sport, le théâtre et, surtout, le jazz, dont il était un peu l'apôtre. Ayant refusé de pleurer en une la disparition du "Petit Père des...(Lire la suite)